Test jeux vidéo

Mon avis sur Melobot – A Last Song (Xbox Series X)

Les équipes de Microids m’ont fait la sympathie de m’envoyer une clé pour le jeu vidéo Melobot – A Last Song sur Xbox Series X. Le titre est une création d’Anomalie Studio. Après l’avoir fini à 100%, il est temps de vous faire part de mon avis sur ce jeu vidéo d’action aventure sur fond de musique en rythme.

Synopsis et trailer

Entrez dans le monde onirique de « Mélobot – A Last Song », un jeu mêlant aventure, action et rythme qui vous transportera dans une quête héroïque pour sauver une planète rongée par un mal étrange. Vous incarnez Mélobot, un adorable robot musical initialement conçu pour la paix, qui à son réveil se voit chargé d’une mission cruciale : réanimer la faune et la flore d’une planète mystérieuse en reproduisant leurs chants uniques et en bravant les épreuves des terribles gardiens.

Mon avis sur Melobot – A Last Song

Comme indiqué dans le synopsis ci-dessus, nous incarnons un petit héros robotique tout mignon dans un monde post-apocalyptique à bord d’un vaisseau.

Dans ce véhicule un étrange personnage nous donne une mission : nettoyer la plaie qui infecte la flore de multiples régions. Pour cela, vous allez faire usage de 3 éléments :

  • Des attaques en ondes en appuyant en même temps sur A+X
  • Un bouclier rechargeable en appuyant sur B+Y
  • Des mélodies en appuyant sur 9 touches (les 4 de la croix directionnelle, ABXY, R3)

L’essentiel du jeu sera composé de mélodies à reproduire. En environ 5h, j’ai réussi à finir le jeu à 100% (et donc compléter tous les succès Xbox). Pour cela, il sera surtout nécessaire d’être un virtuose, c’est-à-dire de reproduire à la perfection les multiples mélodies émises par les fleurs.

S’il y a une chose qui m’a frappé avec Melobot – A Last c’est la qualité de sa bande originale. Etant donné qu’elle est au coeur du gameplay, c’était absolument nécessaire. Mais au-delà de ça c’est surtout sa proximité avec celle du film Interstellar qui m’a ému. Y a quelques sons qui auraient clairement pu provenir du carton cinématographique.

Dans l’ensemble, Melobot – A Last Song n’est pas bien complexe mais il ne sera pas rare de s’y reprendre à plusieurs reprises quand des mélodies rapides et complexes vous feront face pour le 3 étoiles.

La plus grosse difficulté sera l’affrontement contre les gardiens, des boss évolutifs dans chaque région. A chaque fois vous affronterez une première version assez simple à tuer et une fois la région bien nettoyée, une seconde version plus coriace cherchera à vous abattre. Aucun tuto pour venir à bout de ceux-ci, il faudra parfois se creuser les méninges pour en venir à bout.

Un arbre de compétences est présent dans votre base avec la possibilité d’améliorer votre santé, votre bouclier, votre puissance de frappe et votre vitesse de déplacement. Il faudra parfois modifier les points alloués contre certains boss nécessitant un boost dans une section plutôt qu’une autre.

A noter que le jeu est proposé en 2 modes de difficulté. Soit vous devrez découvrir sur quelles touches appuyer, soit celles-ci seront affichées à l’écran. Au début du récit, on nous indique que la version sans l’affichage des touches est celle initialement pensée par le studio mais honnêtement ça rallonge terriblement la durée de vie du jeu afin de trouver les bonnes touches. C’est surtout un mode pour les chefs d’orchestre et membres du Conservatoire. Le grand public se satisfera pleinement du mode « facile » et l’expérience n’en sera, selon moi, pas dégradée du tout.

Melobot – A Last Song est proposé à 25€ sur PS5, Xbox Series et Steam. Ce fut une très belle expérience vidéoludique avec une BO au top. Tous les détails et liens d’achat sont sur le site officiel. Dernièrement j’ai testé un autre mignon robot avec Astro Bot sur PS5.

À propos de l'auteur

Guillaume Ghrenassia

Guillaume Ghrenassia est autoentrepreneur en rédaction de contenus, blogueur et pigiste sur plusieurs médias. Il a plusieurs passions dont les jeux vidéo, les séries TV, les BD et mangas, la musique, le luxe et est également un grand épicurien.