Les équipes de Paramount m’ont fait la sympathie de m’inviter à la projection presse du film d’animation Transformers : Le Commencement. Le titre qui sort le 23 octobre 2024 est d’une durée d’1h43. Sans plus attendre, voici ma critique sur le film basé sur la célèbre gamme de jouets robots Transformers d’Hasbro.
Synopsis et trailer de Transformers : Le Commencement
Longtemps attendue, l’histoire explosive des origines d’Optimus Prime et de son ennemi juré Megatron, Transformers : Le Commencement, prend sa source dans les profondeurs des impitoyables mines d’Energon de Cybertron. Elle nous entraîne jusqu’à la surface interdite de la planète, dans une quête qui définira l’avenir de toute une civilisation. Un groupe de simples robots ouvriers, dirigé par Orion Pax et D-16, entreprend une excursion audacieuse pour récupérer la Matrice de Commandement, perdue depuis longtemps, et rétablir la libre circulation de l’Energon, le sang vital de leur planète. Au lieu d’atteindre cet objectif, ils découvrent une conspiration, datant de plusieurs siècles, qui déclenchera des guerres civiles millénaires entre les Transformers.
Critique du film
Enorme coup de coeur pour ma part pour Transformers : Le Commencement. Comme rappelé dans le synopsis plus haut, on nous plonge à la naissance des Autobots et Decepticons.
Avant qu’Optimus Prime et Megatron ne soient de puissants ennemis, ils étaient comme des frères. Nous faisons ainsi la rencontre d’Orion Pax et D-16 dans leur jeunesse et sans pouvoir de transformation. Comme des centaines d’autres citoyens de Cybertron, ils n’ont malheureusement pas la roue qui leur permet de se transformer.
Ils sont donc contraints d’avoir des emplois laborieux tels que le minage d’Energon, la source de vie des habitants de cette planète.
En parallèle de cela, le film s’attache à nous présenter un mythique artefact, la Matrice de Commandement, disparu depuis bien longtemps mais qui permettrait à la planète de retrouver son flot d’Energon.
Des personnages cultes comme Bumblebee se dévoileront également dans cet opus préquel.
J’ai vu le film en VOST où Chris Hemsworth incarne le jeune Optimus Prime. Il est accompagné de Brian Tyree Henry, Scarlett Johansson, Keegan-Michael Key, Steve Buscemi, avec Laurence Fishburne et Jon Hamm au casting vocal des divers protagonistes robotisés. Chris apporte le côté goofy au personnage qui fait les 400 coups sur Cybertron. Il devient un leader au fur et à mesure du récit avant d’être le parangon de charisme qu’on connaît depuis.
Le film est visuellement sublime et extrêmement dynamique avec énormément d’action, d’explosions, de courses et de combats. Impossible de ne pas aimer ce nouvel opus si on a un affect pour la saga cinématographique Transformers.
Une scène post-crédit vous attend à la fin.
