Durant l’événement JPO Fort et Clair, j’avais rencontré Maryam, brand ambassador pour l’atelier du saké (groupe Foodex). J’avais adoré son stand et on s’était promis de se retrouver peu de temps après pour découvrir plus en détail son métier et surtout ses produits.
Me voilà donc parti à l’Atelier avec deux amis et embarqué dans un voyage culinaire tout à fait charmant.
Avant de continuer, j’attire votre attention, sur le fait que l’Atelier du Saké est une entreprise B2B, c’est-à-dire que les clients de la marque sont des professionnels et non des particuliers. Donc si vous êtes un particulier, vous ne serez pas en mesure de passer commande auprès d’eux mais nous vous recommandons d’aller du côté de la Maison du Saké, également à Paris.
Une chose à signaler d’entrée de jeu est que le lieu est super beau et joliment décoré (et évidemment avec des bouteilles de saké partout, et même du rhum et whisky japonais !). Ah oui ça aussi je ne l’ai pas précisé, ici il ne s’agit QUE de produits japonais. Ne nous parlez pas d’alcools de riz chinois ou autres, non non, ici c’est que du japonais. Alors du coup, pourquoi je précise ça ? Parce que je pense que comme beaucoup de gens, j’ai été traumatisé par le petit shooter en fin de repas offert par les restos viet/chinois et qui te défoncent la gueule. Ici il n’en sera rien car nos breuvages ne dépasseront pas les 16/17°. Un saké a pour particularité de ne pas excéder les 20° (si ma mémoire dit pas de conneries).
On a testé cinq sakés (mais on était chaud pour le double *clin d’oeil clin d’oeil Maryam*).
Le premier était le même que celui qui m’avait été remis dans mon totebag à l’event Fort et Clair et également disponible en dégustation durant de même événement. Très peu alcoolisé, il se boit REELLEMENT comme de la limonade tellement ça passe tout seul. Il est pétillant, frais, peut-être un peu féminin. Idéal pour l’apéro à la place d’une bière.
Référence : Saké shirakabegura pétillant « Mio »
Le second vers lequel notre voyage a poursuivi son aventure fut une version sensiblement similaire au premier mais dans une version plus sèche. Là encore, c’est parfaitement en apéro avec un faible dosage à 5° et son côté pétillant.
Référence : saké pétillant « Mio » dry
3ème dégustation, on arrive sur une bouteille un peu plus alcoolisée déjà et mature dans son public avec le Dragon God qui titre à 16°. On sent que c’est alcoolisé mais ça ne nous fera pas de mal pour autant. La comparaison avec le vin français est à mon sens parfaitement ensageable et l’idée au travers de cet article est de vous montrer qu’une boisson alternative à la bière et au vin peut être envisagée si l’envie vous prend.
Référence : Saké Ryujin Kakushi Ginjo Namagenshu
Notre 4ème saké est probablement celui qui nous a tous le plus marqués à cause d’une petite histoire et d’une petite phrase apportée par Maryam avant notre mise en bouche. Une petite histoire de glacier…